Première tentative à l’Everest, le mauvais temps l’empêche d’atteindre le sommet.
« La première fois que j’ai aperçu l’Everest, son sommet perçait les nuages et une puissante tempête y faisait rage. Je me suis senti si petit, mon cœur battait trop fort… Gravir cette montagne m’apparaissait humainement impossible. »
Les violentes tempêtes ont empêchés toute réussite, quelque soit le versant ou la voie empruntée. Plusieurs tentatives sommitales, dont la dernière à 7 400m, alors que toutes les équipes avaient abandonné, quitté le camp de base. Assis sur un rocher au pied de la montagne, déçus, un nouveau défi se présentait à Dorjee et Bernard ; revenir, tenter de nouveau en espérant cette fois atteindre le sommet.
« Je réalisai plus tard que la seule façon d’y arriver serait de la couper en étapes, en heures, en secondes même. Que l’Everest se grimperait un pas à la fois« .
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